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Histoire de nos rues

Toponymie

Histoire de nos rues

La Ville de McMasterville s’est inspirée des bâtisseurs et personnalités marquantes de son histoire afin de nommer ses rues.

En ordre alphabétique

Natif du Leicestershire en Angleterre, Albert Gamble est arrivé au Québec avant 1911. Charpentier et surintendant de la construction à la Canadian Industries Limitied (C.I.L.).

En 1917, il signe la pétition adressée au gouvernement provincial demandant la création de la Municipalité de McMasterville, devenant ainsi, un de ses fondateurs.

Il fut conseiller municipal de 1923 à 1946 et commissaire d’école.

Monsieur Albert Leal était machiniste à la poudrière en 1921.

Il a été conseiller municipal de 1950 à 1958.

Ancien conseiller municipal de McMasterville, de 1954 à 1957.

Bernard Pilon a été un homme politique important dans l’histoire de McMasterville. Tout d’abord assureur de Beloeil, il a également été militaire. Il a d’ailleurs servi durant la Deuxième Guerre mondiale.

Bernard Pilon a joué un grand rôle sur la scène politique. Il a été député du comté de Chambly-Rouville à la Chambre des Communes en 1962, 1963 et 1965 et ensuite député (libéral) du comté de Chambly en 1968.

Conseiller municipal de McMasterville, de 1966 à 1972.

Paul-Émile Caron a été conseiller municipal à McMasterville de 1961 à 1964.

La rue Casavant a été nommée en l’honneur de la famille Casavant, particulièrement de madame Alice Monast-Casavant, veuve de monsieur Émile Casavant qui fit subdiviser une partie du lot 28 du cadastre de Beloeil et fit don à la Municipalité de McMasterville des rues traversant cette subdivision.

La terre avait d’abord appartenu à monsieur Auguste Casavant qui en fit don à son fils Émile Casavant (1896-1934) en 1928. À son décès en 1934, Émile Casavant légua la terre à son épouse Alice Monast. C’est elle qui fit subdiviser les lots offerts à la construction domiciliaire dans ce secteur ainsi la Municipalité, suggéra que le nom Casavant soit donné à l’une des rues traversant ce secteur.

Pierre Chabot, conseiller municipal à McMasterville de 1958 à 1960. La rue a été nommée en son honneur.

Cette rue a été nommée en souvenir de la famille Comtois dont plusieurs membres ont été représentants au conseil municipal.

Joseph (1871-1951) était constructeur, opérateur de bac et premier maire de McMasterville de 1917 à 1919. Il a également été marguillier à la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus en 1940.

Samuel (1847-1929) était menuisier et conseiller municipal de 1917 à 1919. Il a été le deuxième maire de McMasterville de 1919 à 1923. Marguillier à la paroisse Saint-Matthieu en 1913.

Herménégilde (1883-1942) était cultivateur, constructeur et marchand. Il a été conseiller municipal en 1917 et maire de McMasterville en 1921.

Antoine (1887-1952) était menuisier. Il a été conseiller municipal de 1917 à 1919, de 1923 à 1944 et maire de McMasterville de 1944 à 1947.

Abraham (1887 à 1951) était un employé de la poudrière en 1907 et contremaître aux acides en 1920. En 1917, il signe la pétition adressée au gouvernement provincial demandant la création de la Municipalité de McMasterville, devenant ainsi, un de ses fondateurs. Il a été conseiller municipal de 1925 à 1944.

Anatole (1912-1996) était contremaître à la poudrière de McMasterville. Il a été conseiller municipal de 1948 à 1950. Marguillier à la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus en 1965 et en 1965.

Saviez-vous que le boulevard Constable est l’une des plus importantes artères de la municipalité et que le nom a été donné à la mémoire de monsieur Peter Constable (1899-1978). Ce dernier a occupé le poste de conseiller municipal de 1945 à 1947 et celui de maire de McMasterville de 1947 à 1961.

Peter Constable est né en Écosse où il a épousé madame Edith Maud Saunders en 1928 pour immigrer et s’installer à McMasterville en 1929. Il fut employé à la C.I.L. à compter du 29 novembre 1929 comme ingénieur et directeur de la centrale d’énergie. Il a été commissaire à la Commission scolaire protestante, puis secrétaire et président de 1935 à 1950. Il a également été Syndic de la United Church de McMasterville. Monsieur Constable est décédé le 28 septembre 1978.

Toponyme belge. Ville des Ardennes en Belgique où se sont déroulés de violents combats en 1944, alors que l’armée américaine repoussa avec succès l’attaque des forces allemandes. Cette rue a été nommée en l’honneur des valeureux vétérans de la Deuxième Guerre mondiale.

Toponyme français. Région de l’ouest de la France d’où sont partis un nombre important de colons fondateurs de la Nouvelle-France dans la foulée de Jacques Cartier parti du Saint-Malo pour découvrir le Canada en 1534. La rue de Bretagne a été ainsi nommée en l’honneur de nos ancêtres bretons.

Petite commune du nord de la France où s’est déroulé le dernier épisode de la bataille de Normandie en 1944. Des armées du Royaume-Uni, du Canada, de la Pologne, des États-Unis et de la France y ont délogé l’armée allemande. La rue de Falaise a ainsi été nommée pour rappeler le souvenir des vétérans canadiens qui s’y sont battu lors de cette Deuxième Guerre mondiale.

Toponyme français. Territoire au nord de la France, site du mémorable débarquement des Alliés, en 1944, et de plusieurs grandes batailles entre les Alliés et les Allemands. :a rue de Normandie a été nommée pour commémorer le souvenir des vétérans canadiens dans la Deuxième Guerre mondiale.

Petite commune du nord de la France où se déroulèrent de très violents combats des armées française et britannique contre les Allemands en 1915 et entre les Canadiens et les Allemands en 1917. Ces derniers combats finirent par une coûteuse victoire des Canadiens. La rue de Vimy a été nommée en souvenir des soldats canadiens de la Première Guerre mondiale. Depuis 1985, cette rue est maintenant connue sous le nom de la rue de Normandie.

Toponymie belge. Région montagneuse de l’est de la Belgique qui s’étend aussi sur une partie du Luxembourg et au nord de la France. Les Ardennes ont été le théâtre de batailles lors de ces deux Guerres mondiales, soit en 1914, en 1940 et en 1944. La rue des Ardennes a été nommée pour commémorer les vétérans canadiens de ces guerres.

Le merisier, aussi nommé cerisier sauvage, est un grand arbre qui produit la merise et dont le bois, de couleur rougeâtre et à grain très fin, est utilisé en ébénisterie. Au Québec, le terme merisier est employé pour désigner le bouleau jaune.

Nommée en l’honneur d’un ancien président de la C.I.L., Arthur B. Purvis, le Purvis Club, aussi appelé Community Club, fut construit vers 1915 pour accommoder les employés de la C.I.L. Il était situé sur la 2e avenue (anciennement rue du Pont) entre les rues Nobel (anciennement rue des Bungalows) et Joffre. Le bâtiment servait avant tout de centre communautaire et comportait une salle de quilles et un cinéma. À l’occasion, il servait de logements à certains employés célibataires nouvellement arrivés, en attendant de trouver un logement plus convenable. Il fut détruit par un incendie au début des années 60. La rue du Purvis-Club fut nommée pour commémorer ce centre communautaire.

Cette voie de communication se trouve à McMasterville, en Montérégie. Plus précisément, elle borde la rivière Richelieu, d’où son nom.

Ernest O’Doherty (1904-1975) technicien en architecture et électricien au service du CN. Il a vécu à McMasterville de 1947 à 1969. Maire de McMasterville de 1961 à 1966. Marguillier à la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus de McMasterville-Beloeil en 1956. La rue Ernest-O’Doherty a été nommée en son honneur.

Monsieur Gérard L’Espérance a été conseiller municipal de McMasterville, de 1950 à 1958. La rue a été nommée en son honneur.

Monsieur Gilles Drolet a été conseiller municipal du district #1, de 1980 à 1989, communément appelé le quartier de la Rive. Gilles Drolet était reconnu comme un homme public auprès de la communauté mcmastervilloise. Son implication au sein de la collectivité a toujours été exemplaire. Un farouche lutteur pour les intérêts de notre municipalité et un modèle de courage et de ténacité. L’harmonie et la bonne entente ont toujours caractérisé ses démarches pour le mieux-être qu’il voulait procurer aux autres.

On ne peut passer sous silence son travail auprès des organismes communautaires, et ce, pendant de nombreuses années. Cela a fait de monsieur Drolet, un citoyen modèle qui savait s’impliquer et se donner sans compter. Il a contribué au développement et à l’épanouissement de McMasterville.

Monsieur Gilles Landry a été conseiller municipal de McMasterville de 1968 à 1972.

Hilaire Plante (1928-1996) était marin de la marine marchande. Passeur entre Otterburn Park et McMasterville durant les années 1940, puis employé chez Bell Canada. Conseiller municipal de 1967 à 1968. Marguillier à la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus de McMasterville-Beloeil en 1967. La rue Hilaire-Plante a été nommée en son honneur.

Henry Hudson est né en Angleterre en 1570 et décédé à la baie James en 1611. Grand explorateur, il visita l’Arctique, les côtes américaines, découvrit la baie qui porte maintenant son nom et la baie James. Il est considéré par certains comme le fondateur de la ville de New York et de la Compagnie de la Baie d’Hudson. La rue Hudson a été nommée en son honneur.

La rue Jarry fut nommée en l’honneur de monsieur Charles-Édouard Jarry, conseiller municipal à McMasterville de 1963 à 1967.

Originaire de Saint-Hubert, Charles-Édouard Jarry (1918-1981) épousa à cet endroit, en 1938, madame Mignonne Daigneault (1918-2003). Employé de la C.I.L., il s’établit à McMasterville et fit construire la maison qu’il a habitée dans la rue qui portait le nom de la rue Blain à cette époque. Père de trois garçons, Charles-Édouard Jarry s’impliqua activement dans les loisirs. Impliqué dans l’organisation des clubs de hockey des jeunes McMastervillois, il fut aussi très actif dans le club de canotage d’Otterburn Park. En 1963, il fut élu comme conseiller municipal et conserva ce poste le temps d’un mandat, soit jusqu’en 1967.

Comme il existait une rue Blain dans chacune des municipalités environnantes, le Service des postes fit des pressions auprès des villes pour faire changer le nom de ces rues. C’est ainsi que la Municipalité de McMasterville a décidé, vers 1970, de changer le nom de la rue Blain pour celui de rue Jarry en l’honneur de monsieur Charles-Édouard Jarry.

Monsieur Jean L.-Minville a été conseiller municipal de 1965 à 1968. La rue Jean-L.-Minville a été nommée en son honneur.

Joseph Joffre, maréchal de France, né en 1852 à Rivesaltes et décédé à Paris en 1931. Durant la Première Guerre mondiale, il fut commandant en chef des armées françaises à la bataille de la Marne et la bataille de Verdun et a obtenu plusieurs grandes distinctions. La rue Joffre a été nommée en son honneur.

Monsieur John M.-Manders a été conseiller municipal de 1946 à 1951.

John Fitzgerald Kennedy, 35e président des États-Unis, né en 1917 à Brookline et décédé à Dallas en 1963. Il fut un président inspiré qui devint très populaire dans son pays et dans le monde. Son assassinat fut une surprise qui choqua le monde entier. La rue Kennedy fut nommée en son honneur. Cette même rue portait précédemment le nom de rue Drummond.

Sir Wilfrid Laurier, né à Saint-Lin-des-Laurentides (1841-1919), avocat et excellent orateur. Il s’établit à Arthabaska. Il fut député provincial, puis délégué fédéral, ministre, chef du parti libéral de 1887 à 1911 et premier ministre du Canada de 1896 à 1911, l’un des plus prestigieux. Il a présidé à la création des provinces de Saskatchewan et de l’Alberta et à plusieurs réalisations de modernité. Le Beloeillois et homme politique Louis-Philippe Brodeur fut un de ses ministres de 1904 à 1911. Le boulevard Sir. Wilfrid-Laurier (route 116) a été nommé en son honneur.

Monsieur Lucien Côté, résident de McMasterville de 1987 à 1995, a toujours été une personne très impliquée et dévouée pour sa communauté. Retraité du Service de l’approvisionnement à la Ville de Montréal, il a aussi été commissaire d’école à la Commission scolaire de l’Argile-Bleue pour McMasterville ainsi que commissaire à l’assermentation pour tous les districts du Québec.

Lucien Côté a été membre de plusieurs conseils et comités tels que le conseil d’administration du Centre d’action bénévole de la Vallée-du-Richelieu, le comité de construction de l’École des métiers de St-Hyacinthe, le conseil des Chevaliers de Colomb de Beloeil, conseil 290 ainsi que le conseil d’administration du Club Optimiste de McMasterville.

Parmi ses fonctions municipales, monsieur Côté a participé aux programmes Récupération Montérégie et à l’Assainissement des eaux. Il a toujours été présent dans l’activité communautaire de McMasterville en s’impliquant auprès de nombreux organismes.

Digne représentant des citoyens, Lucien Côté s’est caractérisé par sa disponibilité et son écoute. Ses qualités ont permis l’avancement de plusieurs dossiers. Bien que monsieur ne fût pas le plus loquace, ses interventions étaient au bénéfice des citoyennes et des citoyens de McMasterville.

William Lynn (1884-1944) était contremaître à l’usine Hamilton Powder Co de Beloeil-Station en 1911. Conseiller de 1919 à 1922 et maire de McMasterville de 1923 à 1944. Il a également été président d’une commission scolaire. La rue Lynn de McMasterville a été nommée en son honneur.

Monsieur Mervin Walter a été conseiller municipal de McMasterville, de 1956 à 1960.

Pierre-Paul Mongeau (1918-1992), né à Sainte-Anne-de-Sorel le 25 février 1918, est ordonné prêtre à Saint-Hyacinthe en 1942. Vicaire à la cathédrale en 1942, il entre comme étudiant à l’Université Laval en 1944 et obtient un doctorat en théologie en 1946. Professeur de théologie au Grand Séminaire de Saint-Hyacinthe en 1946, il est ensuite nommé vicaire à la cathédrale en 1950. Il a ensuite été vicaire à Saint-Pierre de Sorel en 1953, vicaire à Saint-Alexandre, puis à Sainte-Madeleine et à Saint-Pie en 1960. Il devient ensuite curé de Standbridge-Est en 1962 et curé de Saint-Antoine-sur-Richelieu en 1965. Il arrive à McMasterville le 11 octobre 1967 où il est nommé curé de la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus de McMasterville-Beloeil et reste en poste jusqu’en juillet 1983. Décédé à Saint-Hyacinthe le 10 octobre, il est inhumé à Sainte-Hélène-de-Bagot le 13 octobre 1992.

Il est l’auteur de Notre album familial 1917-1982, 65e anniversaire de la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus de McMasterville-Beloeil. Quatrième curé de la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus de McMasterville-Beloeil, la rue Mongeau a été nommée en son honneur.

Joseph Morin a été ordonné prêtre par Mgr Alexis-Xyste Bernard à Saint-Hyacinthe en 1913. Il a également été professeur au Séminaire de Saint-Hyacinthe. Durant les années suivantes, il a été vicaire de Saint-Barnabé Sud, à Notre-Dame-de-Granby et à Marieville. Joseph Morin a aussi été curé de Saint-Ignace-de-Stanbridge, Sainte-Hélène-de-Bagot et curé de la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus de McMasterville-Beloeil de 1947 à 1957. Il a d’ailleurs présidé l’agrandissement de l’église en 1951. La rue Morin a été nommée en son honneur.

Louis-Philippe Nadeau est né à Saint-Césaire le 2 janvier 1896. Il est ordonné prêtre à Saint-Hyacinthe en 1923. Professeur au Séminaire de Saint-Hyacinthe, vicaire à Saint-Aimé et à Mont-Saint-Hilaire de 1931 à 1933, il arrive à McMasterville comme desservant de la paroisse en 1933. Le 29 août 1940, il devient le premier curé officiel de la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus de McMasterville-Beloeil jusqu’en 1947. Il a présidé l’établissement du presbytère actuel, à la salle paroissiale et au cimetière. Il décède à Windsor, Ontario le 29 juin 1966.

Premier curé de la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus de McMasterville-Beloeil, la rue Nadeau a été nommée en son honneur.

Alfred Bernhard Nobel, chimiste et industriel suédois, né à Stockholm en 1833 et décédé à San Remo (Italie) en 1896. Il inventa la dynamite qui le rendit très riche. Déçu des usages militaires qu’on en faisait, il légua toute sa fortune pour créer le Prix Nobel. La poudrière de McMasterville a grandement de son invention. La rue Nobel a été nommée en son honneur. Cette même rue portait précédemment le nom de rue des Bungalows.

Louis-Joseph Papineau était un avocat, orateur, homme politique influent de grande renommée et fervent patriote. Plusieurs fois député du comté de Kent et du comté de Montréal-Ouest. Capitaine de milice à la Guerre de 1812. Président de la Chambre en 1815. Il acquit la Seigneurie de la Petite-Nation en 1817. Chef d’une délégation à Londres pour s’opposer à l’Union des deux Canada en 1823. Il a également été député du comté de Surrey en 1827. Lors de la rébellion, il s’est réfugié aux États-Unis en 1837, puis en France. De retour en 1845, il a été député du comté de Saint-Maurice en 1848 et de Deux-Montagnes en 1852.

La rue Parent a été nommée en l’honneur de monsieur Achille Parent qui a vécu de 1880 à 1952. Fils de Henry Parent et Lucille Bernard, il a épousé madame Aurélia Belleville à Sainte-Julie en 1903. Il a été journalier à Beloeil en 1907 ainsi qu’à la fabrique de poudre de Beloeil-Station en 1911. Par la suite, il a été charretier en 1915. En 1944, Achille Parent a été marguillier à la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus de McMasterville-Beloeil.

Monsieur Émile Pelletier a été conseiller municipal à McMasterville 1959 à 1960. La rue Pelletier de McMasterville a été nommée en son honneur.

Peter Constable a vécu de 1899 à 1978. Il a immigré de l’Écosse vers le Canada, plus précisément à McMasterville en 1929. À son arrivée, il a tout d’abord été mécanicien de machines fixes et directeur de la centrale d’énergie de la Canadian Industries Limited (C.I.L.). De 1935 à 1950, Peter Constable a été commissaire de la Commission scolaire protestante puis secrétaire et président de cette même commission scolaire. De 1945 à 1947, il a été conseiller municipal, puis maire de la municipalité de McMasterville de 1947 à 1961.

Monsieur Jean-Paul Poirier était conseiller municipal à McMasterville de 1960 à 1961. La rue Poirier a été nommée en son honneur.

Roger-Alfred Clément (1902-1985) était menuisier, fromager et laitier à McMasterville. Il est né à Franceuil, à quelques kilomètres de Chenonceaux (Indre-et-Loire), le 25 février 1902. Il arrive au Québec avec ses parents en 1910 et ils se sont installés à Saint-Basile-le-Grand, en 1918, où commence la fabrication du célèbre Camembert « Madame Clément ».

D’abord menuisier, Roger Clément quitte le Québec en 1920 pour s’engager dans une menuiserie à Péru, près de Plattsburgh dans l’État de New York, où il fait la rencontre de Marie Charrette (1904-2003) qu’il épousera en 1925.

Appelé en renfort par ses parents qui sont débordés avec la fabrication du fromage, il revient au Québec en 1923 et entreprend sa carrière de laitier et fromager. En 1926, ses parents cèdent la ferme qu’ils possèdent à la C.I.L. et ils s’installent dans la maison de monsieur Sirois, au 116, rue Bernard-Pilon à McMasterville où ils continuent à fabriquer leur fromage avec leur fils. Roger succède à ses parents et poursuit l’exploitation de la laiterie jusqu’en 1972 et de la fromagerie jusqu’en 1976. En 1949, il est marguillier à la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus. Il décède à McMasterville en 1985.

Monsieur Raymond Robillard était conseiller municipal à McMasterville de 1958 à 1971. La rue Raymond-Robillard a été nommé en son honneur.

M. Roger Levasseur (1913-1995) est né à Rossland en Colombie-Britannique. Fils d’Éloi Levasseur et Benoîte Forest, monsieur Levasseur a épousé Annette Hélie en 1939 et a eu quatre fils. Soudeur à haute pression et assistant-surintendant à la raffinerie de sucre de Mont-Saint-Hilaire, il fut conseiller municipal à McMasterville de 1964 à 1966. Ce dernier a pris soin du destin de notre municipalité pendant près de sept ans (1966 à 1973) à titre de premier magistrat.

Plusieurs infrastructures importantes ont vu le jour pendant cette période dont un chalet municipal (aujourd’hui connu sous l’appellation de Pavillon des loisirs) attenant au Centre communautaire intégré de McMasterville, une piscine semi-olympique et l’usine de filtration (RIEVR). En 1978, il fut marguillier à la paroisse Sacré-Cœur-de- Jésus de McMastervilleBeloeil.

Très impliqué dans la communauté et dans divers organismes sociaux, Roger Levasseur était un homme foncièrement dévoué. Dédié à sa municipalité, il fut l’un des meilleurs exemples d’un bâtisseur de notre société mcmastervilloise. Afin de rendre hommage à ce grand homme, la Municipalité de McMasterville est heureuse d’offrir à sa population, une partie de son histoire en nommant la rue Roger-Levasseur en son honneur.

Monsieur Roland St-Pierre était conseiller municipal à McMasterville en 1945.

Monsieur Jean-Marie Saint-Denis était conseiller municipal à McMasterville de 1957 à 1959.

Tire son nom de François Charbonneau qui habitait au 86, rue Saint-François.

Monsieur John Scott a été conseiller municipal à McMasterville de 1959 à 1961. Marguillier à la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus de McMasterville-Beloeil en 1950. La rue Scott a été nommée en son honneur.

Monsieur Émile Sirois était un barbier et un marchand. Il était également Marguillier à la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus e de McMasterville-Beloeil en 1942.

Thomas Cyr a été marguillier à la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus de McMasterville- Beloeil en 1940. Il a également été conseiller municipal à McMasterville de 1945 à 1949.

Administrateur et industriel, monsieur William McMaster (1851-1930) fut président de la Canadian Explosives Co. de 1910 à 1924 (devenue plus tard la Canadian Industries Ltd. C.I.L.).

Marié à madame Lucy Atwater Green et père de cinq enfants, son nom fut choisi pour la création de la Municipalité de McMasterville en 1917. Il fut président et membre du conseil d’administration de nombreuses autres compagnies et membre de nombreux clubs à Montréal. Monsieur McMaster est décédé et inhumé à Montréal en 1930.

Afin de conserver à la mémoire des citoyens de McMasterville le nom des personnes ayant contribué à son développement, la Municipalité a donné à une artère importante le nom de W.-McMaster. Le patrimoine historique fait dès lors partie intégrante du quotidien de la population mcmastervilloise.

Monsieur Claude William était un conseiller municipal de McMasterville de 1956 à 1960.

Monsieur Yves Sylvestre était conseiller municipal en 1975.

Yvon L’Heureux a vécu de 1914 à 1984. Commerçant et industriel de la région. Il a été conseiller municipal à Beloeil en 1943. Maire de la ville de Beloeil de 1968 à 1971, il a également été député (libéral) du comté de Chambly-Rouville à la Chambre des Communes en 1957, 1971 et 1972. Le boulevard Yvon-L’Heureux à McMasterville et à Beloeil a été nommé en son honneur.

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